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Monday, 11 May 2015
Un (1) Consultant National Chargé de l'Élaboration de la Situation de Référence du Projet d'Accélération de la Gouvernance et Développement Local Participatif en Faveur des Populations de Zones Stabilisées du Nord Kivu - Nord-Kivu
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Friday, 8 May 2015
Consultant International chargé de coordonner l'élaboration de l'Etude sur la capacité d'absorption des ressources publiques du Burundi
Formation:
Etre titulaire au moins d’une Maîtrise en Economie du Développement, planification, ou dans une discipline similaire. Un diplôme de doctorat (ou PhD) donnerait un avantage au candidat.Expérience:
Disposer d’une expérience avérée d’au moins 7 ans au niveau international en matière la planification stratégique et de gestion des finances publiques;Avoir une bonne expérience dans l’analyse et le suivi des Politiques macroéconomiques et des mécanismes de coordination de l’aide;Avoir déjà conduit au moins une étude similaire dans un pays subsaharienne constituerai un grand avantage.Langues requises:
Avoir une Maîtrise pratique du français; etUne connaissance usuelle de l’anglais.Documents à fournir dans le dossier de candidature
Les consultants intéressés doivent présenter un dossier de candidature comprenant les éléments suivants :
Une proposition technique
Note explicative sur la compréhension des TdR et les raisons de la candidature;Brève présentation de l’approche méthodologique et de l’organisation de la mission envisagée;Formulaire P11 dûment rempli et signé.Une proposition financière
La proposition financière doit être soumise sur la base de l’approche forfaitaire (lump sum) et libellée en USD ou toute autre devise convertible au taux UN.
Afin de faciliter la comparaison des offres financières par le service demandeur, il est recommandé aux candidats de fournir une ventilation de ce montant forfaitaire. Les consultants doivent indiquer/détailler dans leurs propositions financières les coûts des billets d’avions, les frais de visa éventuels, les honoraires et les frais de séjour, en tenant compte du nombre de jours de travail prévus.
Le réalisme des coûts indiqués pour le voyage pourra être vérifié par le PNUD, soit en exigeant la présentation de justificatifs d’achat du titre de voyage, soit en effectuant une comparaison indépendante avec les prix du marché aux dates et pour les trajets concernés. Le PNUD n'accepte pas les coûts de voyage qui excèdent ceux du billet en classe économique. Si un consultant désire voyager en classe supérieure, il devra le faire sur ses ressources propres.
Toute dépense non prévue par les TDR ou explicitement inscrite à l’offre financière telle qu’acceptée par le PNUD, quelle qu’en soit la nature, doit être convenue entre le Bureau du PNUD et le consultant individuel à l’avance, sous peine de ne pas être remboursée.
Par ailleurs, les candidats voudront bien noter que les paiements ne pourront être effectués que sur la base des produits livrés, c'est à dire sur présentation du résultat des services spécifiés dans les TDR et après validation de ces livrables par le responsable désigné par le PNUD. Pour la présente mission, les paiements seront effectués comme suit:
* Paiement des DSA et frais de mission logistique (voyage, communication, etc …) à l’entrée en mission;* Paiement des honoraires au terme de la mission et après remise du rapport final validé.Les candidats pourront être invités ou contactés par téléphone à la fin du processus d’évaluation technique. Aucune note ne sera donnée à cet entretien, mais il sera utilisé pour valider les points donnés au cours de l’évaluation technique et permettra de mesurer/évaluer la bonne connaissance du candidat de l’objet des TDR.
En cas d’insatisfaction justifiée, le PNUD se réserve le droit de ne pas considérer le candidat.
Les consultants seront évalués sur base de la méthodologie suivante :
Analyse cumulative : Le contrat sera accordé au consultant dont l’offre aura été évaluée et confirmée comme:
En adéquation avec les Termes de Référence de la mission ;Ayant obtenu le plus haut score à l’évaluation combinée de l’offre technique et financière.* Evaluation Technique : 70 %
* Evaluation financière : 30 %
Seuls les candidats obtenant un minimum de 70 points seront considérés pour l’évaluation financière.
Etre titulaire au moins d’une Maîtrise en Economie du Développement, planification, ou dans une discipline similaire - Critère exclusif;Etre titulaire d’un diplôme de doctorat (ou PhD) ; - pondéré / 10;Disposer d’une expérience avérée d’au moins 7 ans au niveau international en matière de planification stratégique et de gestion des finances publiques ; - pondéré / 40;Avoir une bonne expérience dans l’analyse et le suivi des Politiques macroéconomiques et des mécanismes de coordination de l’aide ; - pondéré / 30.Avoir déjà conduit une ou des études similaire dans un pays d'Afrique subsaharienne - pondéré / 10.Tout dossier( offre technique - financière - P11 ) doit être fusionné en un seul document en format PDF. Un dossier incomplet ne sera pas considéré.
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Saturday, 27 September 2014
Consultant(e) international(e) pour l'élaboration d'une nouvelle stratégie de croissance accélérée au Mali - Bamako
L’économie malienne se concentre dans le secteur primaire (36% du PIB) et tertiaire (35,6 % du PIB).
Le secteur secondaire (28% du PIB), est peu développé.
L’économie malienne a subi de plein fouet les conséquences de la crise politique et sécuritaire avec un taux de croissance économique de -0,4% en 2012 contre un taux de croissance de 2,7% en 2011. Ce recul de l’activité économique est imputable entre autres à:
La suspension des financements extérieurs pour les trois derniers trimestres de 2012;La contraction des investissements directs étrangers en 2012; Au recul de l’activité dans le secteur secondaire qui a enregistré une baisse de 2,9% en 2012 contre une croissance 8,1% en 2011;A la contraction de 6,7% de l’activité du secteur tertiaire contre croissance de 3,8% en 2011.La crise a entrainé 3 558 pertes d’emplois formels enregistrées essentiellement dans les secteurs de l’hôtellerie, du touriste et des BTP.
Le nouveau contexte créé à partir de la fin du premier semestre 2013 (amélioration de la situation sécuritaire suite à l’intervention de l’armée française et le déploiement de la MINUSMA aux côtés de l’armée malienne, normalisation de la situation politique avec la réussite des élections générales), a contribué au retour effectif de presque tous les bailleurs qui avaient manifesté leur soutien au Mali lors de la Conférence de Bruxelles en annonçant une aide financière de 3,25 milliards d’Euro sur lesquels 1,48 milliards d’euros ont été mobilisés en 2013. En 2013, le Mali connait un début reprise de l’activité économique avec un taux de croissance de 1,7%. Cette croissance devrait s’accélérer en 2014 (6,5%) avec retour des partenaires techniques et financiers (l’aide passant par le Budget de l’Etat représenterait 8,3% du PIB en 2014 contre 6,1% en 2013 et 0,7% en 2012), la reprise de l’activité dans les secteurs des BTP et des services.
Le Programme d’Action du Gouvernement (PAG) 2013-2018 aligné sur le Cadre Stratégique pour la Croissance et la Réduction de la pauvreté (CSCRP), doit permettre au Mali de faire face à des défis majeurs :
Consolider l’unité et la réconciliation nationales et assurer la sécurité des personnes et des biens;Approfondir les réformes en matière de décentralisation;mettre en place des institutions fortes et crédibles; Accroître l’accès et la participation citoyenne au système politique; Améliorer la performance de l’administration et assurer la transparence et la redevabilité dans la gestion de la chose publique; (6) augmenter l’accessibilité et la qualité des services publics; Assurer la relance économique, renforcer la résilience aux chocs et promouvoir l’emploi des jeunes et des femmes.La problématique de la croissance au Mali est une préoccupation majeure du Gouvernement et des Partenaires Technique Financiers (PTF). Ainsi, l’une des orientations fortes de la nouvelle stratégie est de mettre l’accent sur la croissance et le développement des secteurs productifs. Le scénario volontariste considéré dans le CSCRP (2012-2017) table sur un taux de croissance de 7% en moyenne sur la période. L’ambition du Gouvernement est d’accélérer la croissance économique en faisant du développement de l’agriculture le moteur de celle-ci et du secteur privé son vecteur. Les PTF avaient souligné la pertinence de la stratégie proposée et recommandé de préciser l’ordre séquentiel de mise en œuvre des mesures envisagées. Ils avaient recommandé, parallèlement, l’accélération des réformes structurelles (secteurs financiers bancaire et non bancaire, télécommunications, coton, énergie) en vue d’améliorer les performances globales du pays. Aussi, l’accélération de la croissance implique le maintien d’un cadre macroéconomique stable, l’amélioration de la gestion des finances publiques et la mise en œuvre de la réforme de l’administration.
Les revues du CSCRP ont montré que l’économie malienne a connu une croissance moyenne annuelle en deçà de l’objectif de 7%. Le niveau de la croissance enregistré n’est pas suffisant pour entamer une forte réduction de la pauvreté qui touche 43,6% de la population. Les enseignements tirés de la mise en œuvre du CSCRP 2007-2011 et du contexte de sortie de crise doivent aider à mettre l’accent sur les principaux défis de développement du Mali. Des questions clés relatives à l’accélération de la croissance pour réduire la pauvreté, à la maîtrise de la vulnérabilité face aux aléas climatiques, ainsi qu’à la maîtrise de la croissance démographique apparaissent déjà comme des insuffisances dans la mise en œuvre du CSCRP. Au regard des tendances actuelles, le Mali devra redoubler d’efforts dans la conduite des réformes structurelles et la gestion de l’économie pour atteindre les objectifs de développement plus ambitieux.
Il a donc été prévu de conduire des travaux d’élaboration de la stratégie de croissance autour d’un Groupe ad hoc de travail. Ce Groupe de travail, comprend le Direction de la Planification et du Développement (DNPD), l’INSTAT, la BCEAO, la Cellule CSLP, le FMI, la Banque Mondiale, l’AFD, le Pool Technique et le PNUD. Le Groupe de travail est ouvert à d’autres structures nationales ou des PTF intéressés à se joindre aux travaux.
Le CSCRP devra tenir compte des enseignements tirés de la mise en œuvre du CSCRP II afin de ne pas affronter les mêmes obstacles que l’actuel a pu rencontrer. A cet effet, il est souhaitable que le CSCRP 2012-2017 ait un caractère opérationnel nettement affirmé et focalisé davantage sur les thématiques comme la promotion des pôles régionaux de croissance, les changements climatiques, le développement urbain et la croissance démographique.
Objectif:
L’objectif global de l’étude est d’évaluer la mise en œuvre de la stratégie d’accélération de la croissance économique et proposer des orientations en vue d’accélérer et de rendre la croissance pro pauvres dans le cadre de la mise en œuvre du CSCRP 2012-2017 et du PAG 2013-2018.
Objectifs de l’étude:
Le but de la présente étude est l’élaboration d’une Stratégie de Croissance Accélérée (SCA) et Pro pauvre au Mali.
Un recul important de la pauvreté au Mali, tout comme un progrès substantiel vers les OMD, passera nécessairement par une croissance économique qui sera non seulement forte (7 à 8%) par an mais aussi favorable aux pauvres. La mise en œuvre du CSCRP et du PAG, devrait reposer sur une politique affichée de croissance accélérée qui s’appuie sur des leviers favorables aux pauvres tels que le développement local, l’accès aux Services sociaux de base, la promotion de l’emploi pour les couches les plus défavorisées, etc.
Cette Stratégie de Croissance Accélérée (SCA) devrait se baser sur trois orientations majeures:
Accélérer la croissance au Mali pour la porter à un taux de 8% en moyenne par an pour toute la durée du CSCRP et du PAG (2013-2018), et de deux chiffres au-delà de 2018;Rendre la croissance plus efficace dans la lutte contre la pauvreté par la création massive d’emplois;Rendre la croissance directement profitable aux pauvres par le développement local et l’accès aux services sociaux de base.L’atteinte de ces objectifs ne sera possible que si le pays exploite mieux son potentiel en s’appuyant sur les leviers de croissance, à savoir:
La mise en place d’un environnement des affaires de classe internationale pour favoriser les investissements étrangers et nationaux;La promotion accrue des secteurs prioritaires déjà identifiés par une approche filière visant le développement des chaînes de valeur.View the original article here
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Sunday, 20 July 2014
Consultant(e) International(e) pour l'élaboration de la cartographie des aléas
Le pays vient d’élaborer une étude d’analyse de la situation du pays relative à l’évaluation du risque qui a permis d'identifier et d'évaluer les risques, les capacités institutionnelles ainsi qu’une base de données sur les aléas auxquels le pays est affecté. Toutefois, il convient de souligner le manque de données scientifiques sur les aléas et de données détaillés sur les infrastructures, bâtiments et populations exposés. Le bureau du PNUD Comores à travers le projet « Intégration de la réduction des risques des catastrophes dans les politiques en vue de réduire la pauvreté en Union des Comores » compte apporter sa contribution dans l’élaboration d’une cartographie des aléas volcaniques et sismiques, cyclonique, de glissements de terrain, et d’inondations sur l’ensemble des trois îles (Grande Comore, Anjouan et Mohéli). C’est dans cette perspective que le PNUD veut recruter un consultant international et un consultant national pour l’élaboration d’une cartographie d’exposition et des aléas volcanique, sismique, d’inondation et cyclonique des zones les plus vulnérables au niveau national. L’objectif principal de cette consultation est de réaliser une cartographie d’exposition et des aléas volcaniques et sismiques, cycloniques, et d’inondations des zones les plus vulnérables afin par la suite d’établir une carte de la vulnérabilité exprimant les enjeux et dommages potentiels.
Réaliser une base de donnée numérique géo-référencée en exploitant l'inventaire des données existantes établi en Union des Comores et identifier les données manquantes pour les couches de données de base suivantes:
Limites administratives: du niveau national au niveau communal;Réseaux hydrographiques: cours d'eau (permanent, temporaires), barrages, réservoirs, canaux, digues, caniveaux, infrastructure de gestion de l'eau…;Réseaux routiers et ouvrages: routes revêtues et routes secondaires en terre, ponts, ouvrages;Infrastructures: aéroports, ports, infrastructures de la MAMWE et d’EDA (eaux et électricité);Bâtiments publics, administratifs et religieux: écoles, hôpitaux, dispensaires, stades, mosquées, bâtiments publics et administratifs;Occupation des sols (forêt, types d'agriculture, maraichage, zone urbaine, plan d'eau, etc.);Carte de typologie des sols mises à jour avec les retombées des cendres de l'éruption de 2005;Barrières côtières (cotes sans récifs ni lagons, cotes submergées, cotes avec lagons);Localisation des stations de jaugeages pluviométriques.Identifier et centraliser les données disponibles et leurs sources et lister les données manquantes sur les thèmes ci-dessous:
Données météorologiques pour les inondations;Données historiques des précipitations journalières; Données de précipitations sur des interval de temps plus court (ex chaque 2 heures) sur des événements historiques (pour la modélisation des inondations extrêmes); Climat (min/max/moyenne température moyenne, humidité relative, durée d'ensoleillement, vent);Données d'écoulement fluvial: données historiques sur les débits, localisation des stations de jaugeages pluviométriques;Niveau de l'eau des rivières par mois ou saisons; Données sur les sédiments (matériaux du lit, transport des sédiments);images satellites des évènements historiques d'inondations décrivant les zones sinistrées;Données météorologiques pour les cyclone;sDonnées de précipitations sur des évènements historiques;Données sur la vitesse et direction des vents sur les évènements historiques;Données enregistrées sur la vitesse maximale de vent sur les évènements historiques;Données enregistrées sur la pression centrale ayant toucher-terre;Données sur les températures;Données sur la température de la surface de la mer;Données sur l'élévation du niveau de la mer;carte des trajectoires des cyclones pour les évènements historiques.Données sur les éruptions volcaniques
Actualiser les contours géo localisés des bâtiments tracés à partir d'images satellites.
Renseigner sur les caractéristiques et structures des bâtiments:
Utilisation (résidentiel, commercial, industrielle, religieux, médical, école, gouvernement, etc..);Matériaux – définir les matériaux pertinents localement; Nombre d'étages;Type de toit (plat, 1 face, 2 faces, 4 faces);Matériaux du toit;Nombre d'occupant le jour et le nuit;Capacité potentielle d'hébergement;Coût de remplacement des bâtiments. Récupérer les données statistiques existantes sur les caractéristiques démographiques et sociales suivantes:Population;Age;Sexe;Revenus;Niveau d’éducation et taux d’alphabétisation. Récupérer les métadonnées et les données en format shapefiles ou raster des cartes d'aléas existantes et les intégrer à la base de données numériques décrite plus haut.Sous la supervision directe de la Direction Générale de la Sécurité Civile (DGSC) et du PNUD, les résultats attendus de cette consultation sont les suivants: Un rapport sur les données manquantes et/ou non accessibles au début de la deuxième semaine de la consultation;Une base de donnée numérique géo référencée aux formats shapefiles, raster et/ou geotiff selon le type de données, incluant :Les données listées dans le premier objectif à l'échelle du 1:50 000 pour les trois îles, avec pour chaque couche les métadonnées suivantes au format ISO 19139: description de la couche, description des attributs, date de création et de mise à jour de la couche, source, résolution;Les données collectées sur le terrain à travers la cartographie communautaire;Au-delà des données brutes, les couches de données seront préparées dans une série de cartes symbolisées pour une utilisation directe sous QGIS et ARCGIS;Une formation continue aux procédés de collecte et de gestion de données terrain pour les équipes du CATI de la DGSC, du SIG du Ministère de l'Environnement et des enseignants en cartographie de l'Université des Comores; Une cartographie des zones à risques des aléas volcanique, sismique, d’inondation et cyclonique à partir des données nationales et internationales existantes; Un rapport final d'activité en version électronique;Ce rapport doit être validé par les partenaires impliqués dans la gestion des risques des catastrophes en Union des Comores. Organisation de la consultation
Le travail sera réalisé par une équipe formé d’un(e) consultant(e) internationale (e) et d’un (e) consultant national (e) et devront à titre indicatif suivre l'organisation suivante: En collaboration avec la DGSC identifier les zones les plus vulnérables à cartographier aux niveaux des 3 iles;Le Directeur de la DGSC facilitera l'accès aux données existantes des différents ministères et institutions, notamment l’inventaire des données réalisé en février 2014 dans le cadre du projet GFDRR/PNUD, la cartographie de l’île de Mohéli réalisée dans le cadre de la COI ou les données et cartes réalisées dans le cadre des projets GEF du ministère de l’Environnement;Le PNUD facilitera l’accès aux données et études réalisées dans le cadre du projet GFDRR/PNUD (tel que le rapport "Etude de vulnérabilité aux aléas climatiques et géologique en Union des Comores " réalisé par le PNUD), voire l’accès aux données internationales le cas échéant;La consultation centralisera l’ensemble des bases de données réalisées au CATI;Le consultant international travaillera en binôme avec le consultant national pour procéder au transfert de connaissances techniques et pour bénéficier de l'expérience et de la connaissance du contexte local;Du personnel du CATI et du département SIG du ministère de l’environnement accompagneront les consultants lors de leurs travaux;Lors du travail de cartographie communautaire, le consultant international formera et gérera une équipe d'une dizaine de stagiaires aux techniques de collecte de données et de cartographie communautaire en utilisant les outils papier, GPS et informatiques;Le consultant international effectuera la totalité de la durée de son travail aux Comores.